Moissac est une commune française située au centre ouest du département de Tarn-et-Garonne en région Occitanie.
La ville compte 13 378 habitants en 2020. Ancienne sous-préfecture, elle dépend aujourd'hui de celle de Castelsarrasin, ville toute proche, à 7–8 km. Ses habitants sont appelés les Moissagais ou Moissagaises.
Histoire
Moyen Âge et Temps modernes
En décembre 1464, par ses lettres patentes, le roi Louis XI (1423-1483) confirme les privilèges octroyées par ses prédécesseurs.
En 1622, au cours d'une nouvelle guerre de religion, la ville est prise par Louis XIII.
Époque contemporaine
La place de Moissac dans l'organisation administrative du pays
La réforme administrative de la Révolution (1789-1790) place la commune de Moissac dans le département du Lot. Moissac est le chef-lieu d'un arrondissement à partir de 1800 (et jusqu'en 1926. Le 21 novembre 1808, un décret de Napoléon premier la rattache au nouveau département de Tarn-et-Garonne.
En 1830, des troubles surviennent en réaction à la perception des contributions indirectes, la foule s'attaquant au péage du pont de Moissac et menaçant d'incendier la maison du directeur des contributions. Toutefois, la situation se calme après l'intervention du préfet Chaper.
En 1863, les communes de Moissac et Lafrançaise cèdent chacune une partie de leur territoire pour former la nouvelle commune de Lizac.
Le raisin de Moissac
La commune est connue sous l'appellation de « ville du chasselas », du nom du raisin de table originaire du village de Chasselas (Saône-et-Loire) ; la production en AOC « chasselas de Moissac », est pratiquée par les exploitants agricoles du canton.
Les inondations de 1930
Cité uvale, Moissac a été l'une des villes les plus touchées par l'inondation de mars 1930 qui dévasta tout le Sud-Ouest dont notamment le Tarn-et-Garonne. L'historien Max Lagarrigue la qualifie d'« inondation du siècle », indiquant que « l'on dénombre, à Moissac, 120 morts, 1 400 maisons détruites et 5 896 sans abris ».
La Seconde Guerre mondiale et le refuge des enfants juifs
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Moissac est un refuge pour l'importante communauté des éclaireurs israélites de France (EIF). Ces derniers, hébergés au Moulin de Moissac, ou pour les plus jeunes à la Maison des enfants de Moissac, y demeurent durant la guerre grâce, entre autres, à la bienveillance des autorités municipales et de la population. Des jeunes Juifs d'Europe centrale forment le « groupe rural de Charry » qui défriche une dizaine d'hectares à Viarose, en 1941 et 1942 : bien vu du voisinage, ce groupe est l'objet d'un rapport élogieux de la gendarmerie. Cependant, l'occupation de la zone Sud en novembre 1942 rend la situation beaucoup plus difficile, bien que le préfet François Martin ait répugné à appliquer rigoureusement la répression antisémite. Les enfants juifs sont dispersés dans des familles d'accueil jusqu'à la Libération (19 août 1944). Une des responsables de ces refuges est Herta Cohn-Bendit, la mère de Daniel (lequel naît en 1945 à Montauban).
Dix habitants de Moissac sont honorés comme Justes parmi les Nations : Manuel Darrac, Henriette Ducom, Jean Gainard, Alice Pelous, Alida Bourel, Henri Bourel, Pierre Bourel, Renée Bourel, Albini Ginisty et Ernestine Ginisty.
Au printemps 1944, une partie du Quatrième régiment SS « Der Führer » y est cantonnée, avant d'être appelée en Normandie et de commettre de nombreuses exactions sur sa route, notamment le massacre d'Oradour-sur-Glane.
Mai 1968
En mai 1968, les ouvriers de la Targa se mettent en grève (22 mai) précédés d'un jour par ceux, tout proche, de l'usine Péchiney à Castelsarrasin (21 mai). Des manifestations paysannes s'organisent aussi, sous la tutelle de Paul Ardouin, ancien compagnon de route du « tribun des paysans », l'ex-député communiste Renaud Jean.
Toponymie
Deux ouvrages traitent de la toponymie de Moissac. L'un de la toponymie rurale, paru en 2006 (André Calvet), l'autre de la toponymie urbaine paru en 2007 (André Calvet, Régis De La Haye, René Pautal).
Toponymie rurale
Environ mille ans d'archives sont consultables : Matrices cadastrales, états des sections, donations, échanges, déclarations d'exploitations, transactions, testaments, divers actes, successions, procès, quittances, lettres, hommages, procès-verbaux, procédures, inventaires, titres, compois et assemblages, délibérations municipales, etc. Un corpus de plus de 5 000 entrées a pu être dressé. Il répertorie 1 300 noms dont 2/3 ont disparu au cours du temps. La toponymie rurale de Moissac reste riche malgré tout de près de 450 noms dont la présence dans les documents conservés s'étale sur onze siècles. Les noms les plus anciens remontent aux 10ᵉ et 11ᵉ siècles. L'année 1833, date de création du cadastre napoléonien a vu apparaître 157 nouveaux noms. Parmi les noms éphémères, nous trouvons par exemple Comunals (1079), Pueg arotbaut (1125), La Bertuzia (1334), Beteille (1841), et parmi les plus résistants, Bartac (1125), Combe Clairon (1265), Millole (1280), etc.
Le plus étonnant reste la conservation du nom de lieu Gineva (prononcé en occitan « Tsinêbo »), nom ligure évoquant un confluent, conservé par tradition orale, désignant encore le quartier de Saint-Benoît, situé sur la rive gauche du Tarn. Cette désignation affiche fièrement ses 3 000 ans d'âge !
Relever les anciennes graphies d'un même nom de terroir, permet parfois d'en retrouver le sens. C'est le cas du nom énigmatique de Bresidou dont le sens échappe, tandis que les anciens noms, Brugidor, Brugidon ou Brugidou renvoient à l'idée de bruit, bruyant. C'est encore le cas de Cadossang qui est incompris, tandis que ses anciennes graphies, Gaguessang, Cagasant, Cagasang, nous révèlent la présence passée d'un ruisseau qui charriait les eaux boueuses et rougeâtres (couleur sang) du terroir de Borde-Rouge situé en amont. L'étude des noms de lieux moissagais souligne encore l'homonymie bien connue entre toponyme et patronyme. L'observation des données recueillies permet non seulement de dresser une chronologie, mais au-delà, de distinguer les noms de personnes du cru des noms de personnes présents à la suite de flux migratoires. Ainsi, Aurimont, Coudol, Palanque ou Piboul peuvent revendiquer leur foyer originel dans le pays moissagais, tandis que Bayne, Bézy ou Misère doivent chercher leur origine sous d'autres cieux.
Toponymie urbaine
La toponymie urbaine de la ville de Moissac a recours à 176 noms. Un tiers évoque des hommes du cru, parmi lesquels dix environ demeurent à ce jour inconnus ou très mal connus. Quelques noms de seigneurs demeurent, Guileran, Caillavet, Calas, Perpigna, Roussol , etc., ainsi que quatre noms de bienfaiteurs, Henri Cayrou, Dominique Claverie, Antoine Hébrard et Derua. D'autres locaux sont salués, Delbrel le républicain, Barbarou ingénieur de génie, Léon Cladel écrivain ou Jean Sarlat simple curé. Les noms d'hommes au destin national sont d'environ une vingtaine. Parmi eux, des noms d'écrivains, Diderot, Hugo et Montesquieu, des chimistes, Pasteur et Lavoisier, des présidents de la république, René Coty et Charles de Gaulle, et un couple méritant qui n'aurait pu être oublié après le sauvetage d'environ 500 enfants juifs pendant la deuxième guerre mondiale : Shatta et Bouli Simon.
Parmi les autres thèmes, ceux du bâti, Marché, Moulin, Tuileries, Uvarium, Latour, Porte Arse, Tourneuve, Maladrerie, Hôpital, de l'hydraulique, Bassin du Canal, Port de Plaisance, Digue de la Cartonnerie, Vieux Port, de la religion, Abbaye, Calvaire, Pénitents, Prêtres, Recollets, Religieuses, des métiers artisanaux et corporations, Cordiers, Des Mazels, Maréchaux, Pipiers, Potiers, Tanneurs, Tourneurs, Minotiers, Blanchisseurs, des cultures locales, Cerises, Vergers, Jardins, Chasselas, Vignes, Vignobles, des évocations de conflits armés, Flandres-Dunkerque, Alsace-Lorraine, Corps Francs Pommiès, Magenta, Marengo, Montebello, 11 novembre 1918, 8 mai 1945, Jean Moulin, Libération. Quelques noms relatent la terrible inondation de 1930 dont une rue porte le nom. On trouve aussi Sauveteurs, Solidarité, Donateurs, Paris et Maroc. Quelques noms guident le voyageur et s'entendent d'eux-mêmes, Pyrénées, Quercy, Gandalou, Montauban, Saint-Nicolas-de-la-Grave. Quelques autres interrogent quant à leur raison d'être, Cotillon, Lilas, Abeilles, Fleurs, Coq (anciennement rue du Bordel !), Ange, Chat et même...Singe. Signalons enfin le caractère misogyne de la toponymie, comme à son habitude, ici comme ailleurs, avec seulement trois noms féminins, dont deux hagionymes, Blanche et Catherine et Marie Curie, unique femme à ce jour doublement « nobellisée ».
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine Religieux
L'Abbaye Saint-Pierre de Moissac
Église Saint-Pierre, ancienne église abbatiale avec le portail (1130), un des chefs-d'œuvre de la sculpture romane. De l'édifice du 11ᵉ siècle ne subsiste plus que le massif clocher-porche, sorte de donjon avec chemin de ronde, construit dans un but défensif mais dont le dernier étage ne date que de la fin de l'époque gothique.
Cloître (fin du 11ᵉ siècle), un des mieux conservés de l'Occident chrétien. L'abbaye Saint-Pierre et son cloître furent parmi les premiers édifices classés et restaurés au titre des monuments historiques par la commission présidée par Mérimée, dans les années 1840. Ils ont été inscrits en 1998 au Patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco sous le titre des Chemins de Compostelle en France.
Église Saint-Martin de Moissac
L'église Saint-Martin, dont certaines parties datent du 3ᵉ siècle.
L'église (sauf la chapelle Nord) a été classée au titre des monuments historiques en 1922. Les peintures murales du 14ᵉ siècle qui ornent l'archivolte de l'arc d'entrée et les murs de la chapelle latérale ont été classées au titre des monuments historiques en 1953. La parcelle DI 19, située 28, avenue de Gascogne, contenant les vestiges d'un balnéaire antique et portant l'église Saint-Martin a été inscrite au titre des monuments historiques en 2014.
Ancienne église Saint-Michel de Moissac
L'ancienne église Saint-Michel de Moissac située 49 rue Malaveille, mentionnée en 1073, mais origine est beaucoup plus ancienne.
Église de Saint-Julien
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy.
L'église Saint-Jacques de Moissac
De l'église Saint-Jacques médiévale, seul le nom reste. L'édifice actuel, du 19ᵉ siècle, a été aménagé en musée de l'artisanat.
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy.
Église de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste de Viarose
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie.
Église Saint-Avit de Moissac
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy.
Église Saint-Benoît de Saint-Benoît
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy.
Église Saint-Christophe de Saint-Christophe
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy.
Église Saint-Christophe de Montescot
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy.
Église Notre-Dame-des-Pins d'Espis
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy.
Église Sainte-Catherine de Moissac
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie.
Église Saint-Jacques de Moissac
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie.
- Église du Carmel de Moissac.
- Église Saint-Amans de Moissac.
- Église Saint-Hippolyte de Sainte-Livrade.
- Chapelle de l'hôpital de Moissac.
- Chapelle du Petit Séminaire de Moissac.
- Chapelle Saint-Michel de l'école Jeanne-d'Arc de Moissac.
Patrimoine Civil
- Long de 356 mètre, à l'est de Moissac, le pont-canal du Cacor permet au canal latéral de la Garonne de franchir le Tarn.
Le canal latéral à la Garonne, traversant les départements de Lot-et-Garonne et de Tarn-et-Garonne, construit en 1847, long de 183 kilomètre. Il trouve son origine à Toulouse et s'achève à Castets-en-Dorthe. Il prolongeait le canal du Midi qui existait entre Sète et Toulouse. Il sert aujourd'hui davantage au tourisme qu'à la batellerie.
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Le musée moissagais est installé dans l'ancien logis des abbés, imposante construction flanquée d'une tour crénelée de briques du 13ᵉ siècle. Deux cartes permettent d'apprécier le rayonnement de l'abbaye au Moyen Âge. Dans la vaste cage d'escalier, objets liés à l'histoire de l'abbaye.
Les amateurs d'art régional peuvent découvrir des céramiques - surtout d'Auvillar -, des meubles régionaux des 17ᵉ et 18ᵉ siècles, coiffes moissagaises ou encore la reconstitution d'une cuisine du bas Quercy au 19ᵉ siècle. La chapelle haute est consacrée à l'art religieux.
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Les halles, place des Récollets : Construites en 1891 par l'architecte municipal Jean Rouma, l'édifice, à l'intérieur et autour duquel se tient le marché hebdomadaire, associe avec élégance pierre, brique et fonte, et son décor de céramique vante déjà les produits du terroir.
- Le pont Napoléon : décidé par Napoléon premier et terminé par Napoléon III, on a une vue sur les quais et le pont Saint-Jacques : héritier d'un ouvrage médiéval, si ce n'est romain.
Le pèlerinage de Compostelle
Moissac est sur la Via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
On vient de Lauzerte. La prochaine commune est Auvillar, réputée pour sa halle ronde et l'église Saint-Pierre.
Quittant Moissac par la porte Saint-Jacques, certains jacquets traversaient la Garonne en bac à La Pointe, en direction du prieuré Saint-Nicolas-de-Grave,,.
Si d'autres préféraient franchir la Garonne à Malause, tous se retrouvaient à Auvillar.
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L'accueil des pèlerins
S'ils n'avaient trouvé place à l'hôtellerie, ils pouvaient compter sur la maladrerie de l'abbaye, située près de l'église Saint-Martin, ou sur les autres hôpitaux de la cité moissagaise, dont un était placé sous le vocable de Saint-Jacques.
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La confrérie Saint-Jacques de Moissac
Moissac est l'une des rares villes de la Via Podiensis où l'on trouve mention d'une confrérie de Saint-Jacques. Cette association apparaît tardivement, en 1523. À cette époque, les mentalités ne sont plus ce qu'elles pouvaient être au cœur du Moyen Âge, quand les confrères fondaient ou géraient des hôpitaux.
Les confrères-pèlerins de Moissac semblent repliés sur eux-mêmes. Leurs activités essentielles sont la célébration de la Saint-Jacques, messe, procession et.. banquet, ainsi que l'assistance aux funérailles des confrères morts.
Moissac, comme Cahors, possédait du reste une paroisse dédiée à cet apôtre.
Depuis 2000, l'ancien Carmel, centre de stages et de séjours, accueille plus de 12 000 personnes par an et notamment les pèlerins en chemin vers Saint Jacques de Compostelle. Entièrement restauré, ce bâtiment historique est situé à flanc de colline.
Patrimoine naturel
Sur le territoire de la commune de Moissac en 1909 a été mis au jour une nouvelle espèce de rhinocéros fossile, Cadurcotherium nouleti, aujourd'hui renommé Cadurcotherium cayluxi de l'Oligocène (Rupélien). Le paratype est conservé au Muséum de Toulouse.
Personnalités liées à la commune
- Pierre-Raymond de Brisson (1745-1820), explorateur, né et mort à Moissac ;
- Pierre Delbrel (1764-1846) : avocat né et mort à Moissac ;
- Hippolyte Detours (1799-1885) : homme politique né à Moissac ;
- Michel Delbrel (1803-1853) : homme politique né et mort à Moissac ;
- Raymond Ferréol Lespinasse (1811-1899) : homme politique né et mort à Moissac ;
- Jean Detours (1830-1881) : homme politique né à Moissac ;
- François Édouard Raynal (1830-1898) : navigateur et écrivain né à Moissac ;
- Henri Rieunier (1833-1918) : ministre de la Marine et député, élève du collège de Moissac ;
- Camille Delthil (1834-1902) : homme politique né à Moissac et ancien maire de la commune ;
- Georges Brunel (1838-1890) : homme politique né à Moissac ;
- Hugues Massip (1842-1889) : homme politique né à Moissac ;
- Firmin Bouisset (1859-1925) : illustrateur, lithographe et affichiste né à Moissac ;
- Raymond de La Tailhède (1867-1938) : poète né à Moissac ;
- Roger Delthil (1869-1951) : homme politique et ancien maire de la commune né et mort à Moissac ;
- Pierre-Marc Arnal (1873-1914) : homme politique né à Moissac ;
- André Abbal (1876-1953) : sculpteur né à Montech, a réalisé le monument aux morts ;
- Antoine Capgras (1876-1964) : homme politique né à Moissac ;
- Marius Barbarou (1876-1956) : ingénieur motoriste (et pilote automobile) ;
- Raymond Salers (1885-1962) : homme politique et ancien maire de la commune né et mort à Moissac ;
- Slimane Azem (1918-1983) : chanteur algérien de musique kabyle mort et inhumé à Moissac ;
- Jacques Leuzy (1922-1962) : peintre verrier français né à Paris et mort à Moissac ;
- Alfred Roques (1925-2004) : joueur de rugby à XV ayant débuté au club de Moissac ;
- Jean Coladon (1933-) : artiste peintre, vit et travaille à Moissac depuis 1997 ;
- Daniel Reiner (1941-) : homme politique né à Moissac ;
- Jean-David Levitte (1946-) : diplomate né à Moissac ;
- André Piazza (1947-) : joueur de rugby à XV né à Moissac ;
- Pierre Blaise (1955-1975) : acteur, né et mort (dans un accident de voiture) à Moissac ;
- François Boulet (1965-) : historien né à Moissac, auteur d'ouvrages sur l'histoire de Moissac ;
- Christophe Rinero (1973-) : coureur cycliste né à Moissac ;
- Anaïs Amade (1981-) : triple championne d'Europe slalom en ski nautique et vice-championne du monde, licenciée au club de Moissac ;
- Lila Meesseman-Bakir (1987-) : nageuse née à Moissac ;
- Caroline Costa (1996-) : chanteuse, née à Moissac, découverte par l'émission Incroyable Talent en 2008 ;
- Salvatore Siviliare (?-2005) : mafieux sicilien assassiné à Moissac.
- Liste des abbés de Moissac
Héraldique & logo
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Les armes de Moissac se blasonnent ainsi : de gueules à la croix vidée cléchée d'or pommetée d'argent de douze pièces (croix occitane), au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or.
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Culture populaire
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Littérature
- 1951 : L'assassin a le prix Goncourt de Pierre Gamarra ;
- 2009 : Le serpent aux mille coupures de DOA.
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Cinéma
- 2005 : Saint-Jacques… La Mecque de Coline Serreau.